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 Is it sex or only violence that feed our obsession ?

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AuteurMessage
Aleska Worthington

Aleska Worthington


Messages : 1
Date d'inscription : 31/03/2010

Is it sex or only violence that feed our obsession ? Empty
MessageSujet: Is it sex or only violence that feed our obsession ?   Is it sex or only violence that feed our obsession ? EmptyMer 31 Mar - 23:23

    La pièce apparut bientôt, et il l’entraîna à l’intérieur sans la lâcher un seul instant. Sa main s’était glissée sous sa robe tandis que ses lèvres suçaient avidement son cou, y laissant des marques violettes qu’elle devrait cacher le lendemain. Il la poussa sur le lit sans douceur et entreprit de lui enlever sa robe en poussant un grognement rauque. Aleska s’accrocha à lui, le souffle court. Elle l’embrassait avec passion, capturant ses lèvres dès qu’elle le pouvait, ses mains parcourant sa peau brûlante en de vaines tentatives pour le détourner quelques secondes de son but. Mais ses baisers ne le ralentirent pas un seul instant, et il lui arracha sa petite culotte d’un mouvement brusque. Elle fixa le plafond, le cœur battant, et écarta docilement les cuisses quand il défit la boucle de son pantalon. Elle se mordit la lèvre inférieure quand il la pénétra brusquement, réveillant une douleur cuisante dans son bas-ventre, mais elle ne laissa échapper aucun gémissement. Il força le passage de son intimité étroite, haletant sous sa besogne, l’écrasant de tout son poids. Son visage rougis par le plaisir se balançait devant ses yeux au rythme de ses vas et viens brutaux, tandis qu’elle le sentait s’enfoncer plus profondément en elle. Pourtant la douleur s’estompait peu à peu, et elle écarta plus largement les cuisses en sentant une mince vague de plaisir commencer à grandir en elle. Petit à petit, elle sentit son corps glacé se réchauffer, et les pénétrations devinrent plus faciles. Elle se colla à lui, murmura son prénom, et l’accompagna peu à peu dans ses mouvements de hanches afin de l’accueillir au plus profond d’elle-même. La douleur se mêlait au plaisir, enfin. Mais alors qu’elle commençait à ressentir les frissons si délectables, il poussa un cri bestial et elle le sentit éjaculer en elle. Il retomba de tout son poids sur elle, et elle le repoussa avec un demi-sourire. Il se retira avec un sourire suffisant, l’embrassa à pleine bouche et commença à se rhabiller.

    Quelques instants plus tard, il avait quitté la pièce, la laissant seule sur le lit, sa robe remontée par-dessus la taille. Elle réajusta ses vêtements comme elle le put et contempla sa petite culotte qui gisait au pied du lit. Elle se laissa retomber sur les draps verts en réprimant un frisson. Elle avait faillit y arriver, cette fois … Plus le temps passait et mieux elle arrivait à supporter les assauts de Mulciber. Mieux encore, elle arrivait presque à avoir du plaisir … Presque. Sa main droite glissa sous les restes de sa robe, caressant machinalement ses seins. Elle ne désespérait pas de pouvoir prendre son pied avec lui, comme elle le faisait quand elle était seule. Si seulement il voulait prendre juste un peu plus de temps … Il ne savait pas attendre, c’était son plus grand défaut. Il voulait toujours tout, tout de suite. Elle avait déjà tenté de lui faire comprendre que ce serait bien meilleur s’il prenait son temps, s’il leur laissait à tous les deux le temps de laisser monter le plaisir … Mais son plaisir à lui montait à une vitesse fulgurante, et il n’entendait rien à ses arguments. Quand il avait envie d’elle, c’était tout de suite, et il se soulageait avant même qu’elle ait eut le temps de le désirer.
    Son autre main glissa le long de son ventre jusqu’à son sexe, qu’elle se mit à caresser lentement. Pour la première fois, il avait commencé à la satisfaire, et elle était restée sur sa faim. Ses doigts jouèrent avec son clitoris et elle poussa un léger soupir. A nouveau des vagues de chaleur la parcoururent, et un léger sourire naquit sur ses lèvres. Sa main droite jouait avec ses tétons, tandis que la gauche descendait plus bas, vers son intimité encore humide. Elle introduisit un doigt dans l’antre chaude, puis deux, et entama un lent va et viens. Dans son esprit défilaient les visions qui avaient tant tardé quand elle était entre les bras de Mulciber : cris de jouissance et explosions de plaisir, tout ce qu’il n’avait jamais pu lui donner et qu’elle avait trouvé toute seule depuis bien des années. Mulciber était le seul à avoir le droit de la toucher, et elle aurait voulu qu’il la fasse hurler de plaisir, qu’elle partage le plaisir qu’il prenait à chaque fois qu’il la pénétrait … Elle savait que ça pouvait être bon, elle savait ce qu’il fallait pour que ses assauts deviennent des moments qu’elle attendrait avec autant d’impatience que lui. Et en attendant qu’il apprenne la patience, elle apprenait à se contenter seule.
    Aleska poussa un gémissement en sentant ses cuisses se mettre à trembler, et elle accéléra le mouvement de ses doigts. Sa respiration était hachée, son rythme cardiaque s’était précipité, et ses cris devenaient de plus en plus aigus à mesure qu’un liquide chaud coulait entre ses cuisses, sur ses doigts frémissants. Elle arqua le dos et écarquilla les yeux en sentant l’orgasme arriver, mais elle fut stoppée par un bruit sourd contre la porte de la pièce. Elle plongea derrière le lit en tirant les draps sur elle, juste au moment où la porte s’ouvrit.

    « Worthington ? »
    Aleska se figea en reconnaissant la voix. Elle remit rapidement sa robe en place et se redressa de toute sa hauteur, les yeux plissés par la colère.
    « Qu’est-ce que tu fiches ici, Black ? »
    Sirius Black se tenait devant l’embrasure de la porte, les bras croisés sur sa poitrine. Un sourire narquois s’étala sur son visage quand il embrassa la pièce du regard, s’arrêtant sur sa culotte au sol et sur les draps défaits du lit. Quand ses yeux se posèrent sur elle, il la détailla sans aucune pudeur, comme il le faisait toujours. Elle eut l’impression qu’il voyait à travers ses vêtements, tant son regard était insistant. Il ne fallait de toute façon pas être devin pour déduire certaines conclusions en la voyant : elle avait les joues en feu, les yeux brillants, sa robe était de travers et sa coiffure d’ordinaire impeccable était complètement ruinée.
    « J’ai besoin de la salle. » Lâcha-t-il d’un ton léger.
    Aleska ouvrit la bouche pour lui répliquer, quand il continua sur sa lancée, toujours aussi nonchalamment :
    «Ca m’arrange que Nott soit aussi rapide, avec quelqu’un d’autre j’aurais peut-être du attendre des heures avant que ça soit terminé … Bon, tu dégages maintenant ? »
    La jeune fille écarquilla les yeux et serra les poings, furieuse.




A suivre. Mais j'ai pas le temps de terminer ce soir, peut-être pas demain non plus et après ce sera pas avant dimanche soir, donc disons que c'est un avant-goût ^^
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